(PROSTI/SVOBODNI CAS)
“Le jardin, 10
octobre 2012
Le devenir d’un
temps de rêverie?
Bien-sûr.
Se reposer ou être libre? Être libre de se
reposer?
En d’autres mots, du repos, du changement
et de la curiosité.
Continuation, bifurcation, superposition.
Décroiser ses jambes, se charger de
convictions, endosser son bon vivant.
Le point est-ce une pause dans la pensée ou
une condensation du possible d’advenir?
L’azur profond qui coule.
En attendant le dernier verre, révisez vos
incertitudes.
Le sens se trace à partir de moments
éphémères à travers une marche lente entretenue par des circonstances.
Les mots de la conversation voisine, les
sirenes, le courant calme de la rivière, le pont- les conclusions?
Le temps d’apprendre à vivre il est déjà
trop tard, mais les regrets ne servent à rien…Rien, rien, je ne regretterai
rien (au moins deux fois).
Un lieu du maintenant, sans lieu, que
mouvement. Un mouvement de l’oubli. Un oubli pour une experience.” Suzana, Loup, Teja
“To consider free time freed from the
context of time, as something one has or doesn’t have. That is time that you
don’t grasp. It is hard to conciliate time and free time because the moment you
consider time as something like distance and limits, you can not then consider it
free of its limits.” Loup
“I should say:
the garden shelters day-dreaming, the garden protects the dreamer, the garden
allows one to dream in peace.
Unlike any
other form of thought, daydreaming is its own reward. Daydreaming is
pleasurable. And, I would guess, is probably a psychological necessity. For
isn’t it in our daydreams that we acquire some sense of what we are about?
Daydreaming is where we go to cultivate the self, or, more likely, selves, out
of the view and earshot of other people. Without its daydreams, the self is apt
to shrink to the size and shape of the estimation of others.”
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